Evolution du paysage statutaire : SG, DSNA et SNCTA, dans un commun élan catégoriel, divisent l'encadrement et font perdurer les disparités et la gestion calamiteuse des postes à recouvrement. L'USAC-CGT propose au contraire de réunir les agents des domaines études et encadrement dans un corps commun doté d'un statut unique et d’un régime indemnitaire commun.
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Suite à la demande de l’intersyndicale, l’administration a accepté de tenir des réunions hors protocole concernant les recrutements, les avancements et les mutualisations des fonctions supports. Mardi 16 mars a eu lieu la réunion traitant des recrutements et avancements 2010 en présence de tous les syndicats sauf du SNCTA.
Un fonds de solidarité qui concerne tous les agents, syndiqués ou pas.
Un fonds géré en toute transparence par les organisations de l'intersyndicale
au travers d'une association loi 1901 créée spécialement.
Un fonds abondé et reversé intégralement à chaque mouvement.
Des dons volontaires des agents solidaires et des reversements de soutien
proportionnés aux revenus.
Voilà plusieurs mois que l'intersyndicale, majoritaire chez les personnels, participe patiemment aux « négociations » protocolaires. Devant le refus du ministère de nous écouter sur des questions aussi fondamentales que nos statuts et les recrutements, nous voilà contraints de nous retourner vers l'ensemble des collègues de la DGAC.
La réunion du GT “fusion” a relancé le débat sur l'organisation du domaine étude et encadrement. Le projet de l'USAC-CGT se différencie nettement de celui de l'administration.
Les postes d’encadrement, et plus généralement les postes hors exploitation directe, sont assurés par des agents de corps différents. Cette diversité d’expériences ne doit pas conduire à des disparités indemnitaires. Or les différences sont énormes, flagrantes et injustifiées.
La rentrée se fait sous le coup d’une crise dont les inévitables répercussions sur le transport aérien sont à venir. La crise pétrolière a déjà fait des dégâts et de nombreuses compagnies sont en difficulté voire en faillite. Une inflexion du trafic se fait sentir y compris à Roissy et nul ne peut prévoir quelles en seront les réelles conséquences sur le transport aérien. RGP